« Tout le monde dit I love you » est une histoire qui se déroule en 2020, avec le début de la pandémie, qui nous transporte entre l’Égypte, le Canada et l’Amérique à la rencontre de nombreux expatriés égyptiens souffrant des difficultés de l’amour à distance. A cette crise existentielle s’ajoutent le problème de l’éloignement et de l’identité culturelle mais aussi le constant accablant d’un effondrement du monde arabe contemporain depuis 30 ans.
May Telmissany
Romancière, traductrice, universitaire et critique de cinéma égypto-canadienne. Elle enseigne actuellement le cinéma et les études arabes à l’Université d’Ottawa au Canada. May Telmissany a déjà publié trois romans, « Doniazade », « Heliopolis », « A cappella », traduits également en français chez Actes Sud, et trois recueils de nouvelles : « sculpture répétée », « Trahison mental « , « Œil magique » ; ainsi qu’un certain nombre d’études, d’articles et de traductions.
Rencontre modérée par Dina Abdel Salam, professeur adjoint au département de langue et de littérature anglaise, écrivaine et réalisatrice