Violetta de Julie Deliquet (18 minutes – français sous-titré anglais)
Àla croisée des couloirs labyrinthiques de l’Opéra Bastille et de l’hôpital Gustave- Roussy de Villejuif, deux trajectoires d’actrices au seuil d’incarner la maladie. Jouant des ressemblances entre les deux espace-temps, et du trouble quant à ce qui tient de la fiction ou de la réalité, violence et passion des sentiments des deux femmes vont si bien se mêler qu’elles témoigneront de différents rapports au tragique et à la représentation.
Cléo de 5 à 7 d’Agnès Varda (1h30 – français sous-titré arabe)
Cléo, belle et chanteuse, attend les résultats d’une analyse médicale. De la superstition à la peur,de la rue de Rivoli au Café de Dôme,de la coquetterie à l’angoisse, de chez elle au Parc Montsouris, Cléo vit quatre-vingt-dix minutes particulières. Son amant, son musicien, une amie puis un soldat lui ouvrent les yeux sur le monde. Cléo de 5 à 7, est un des films emblématiques de la Nouvelle Vague.